Investissements durables dans l’alimentaire : viables ou pas viables ?

Les investissements durables sont-ils viables dans le secteur alimentaire ? C’est la question soulevée au travers de la nouvelle publication des Entretiens Croisés, proposée en partenariat avec Oaklins France. Une seconde édition qui expose les points de vue de Claire Maingon pour Sofiproteol et Didier Suberbielle, investisseur chez DS Participations. Alors, durabilité et investissements sont-ils compatibles dans le secteur alimentaire ?

Deux points de vue sur les investissements durables

Après une première édition consacrée aux tendances nutrition en 2020, nous avons choisi avec Oaklins France d’aborder une nouvelle thématique d’intérêt : la compatibilité entre investissements durables et secteur alimentaire.
Pour cela, nous avons recueilli deux points de vue :

• celui de Claire Maingon, directrice des engagements chez Sofiprotéol, société de financement qui accompagne le développement et l’innovation des filières agro-industrielles et agroalimentaires,
  
• celui de Didier Suberbielle, spécialiste des produits de grande consommation premium et gérant de la holding d’investissement DS Participations.

Deux parcours, deux personnalités, avec chacune un point de vue sur la question des investissements durables sur un secteur dont ils ont une approche spécifique.

Pourquoi poser la question (et y répondre) ?

En croissance, le secteur de l’alimentation attire les investissements, mais ceux-ci sont-ils compatibles avec les enjeux du contexte écologique, démographique, sanitaire et géopolitique ? Une question de fond abordée sous plusieurs angles.
Parmi les questions posées à ces deux experts : leur vision de l’investissement dans le secteur alimentaire, la conciliation entre investissements durables et croissance, ou encore la possibilité d’un compromis entre santé et durabilité.
Sur ces sujets – ainsi que sur les thématiques de l’accessibilité à une alimentation de qualité, les scores environnementaux, l’alimentation végétale…- nous vous invitons à découvrir leurs réponses et leurs points de vue, étayés par leurs expériences respectives.

L’objectif des investissements durable dans l’alimentaire

Pour Didier Suberbielle, « on ne peut pas être premium si on n’est pas durable« , quand Claire Maingon définit ainsi l’engagement de Sofiprotéol : « Nous sommes beaucoup plus qu’un apporteur de cash. Nous nous définissons comme architectes de la filière (…). » Deux points de vue complets qui tendent vers la nécessité de faire cohabiter investissements durables et secteur de l’alimentation pour faire évoluer ce dernier efficacement… et durablement.
Pour découvrir leurs regards et leurs expertises, nous vous invitons à télécharger cette nouvelle édition des Entretiens Croisés.